Cette décision a été prise lors d’une réunion des délégués des différents Centre Hospitaliers Universitaires d’Algérie qui s’est tenue jeudi dernier à Alger.
"Notre situation est ambiguë. Nous ne savons pas si nous sommes considérés comme fonctionnaires ou comme étudiants", a relevé un délégué du collectif cité par des médias locaux.
Les médecins résidants, rappelle-t-on, avaient observé deux grèves nationales après plusieurs sit-in dans les différents hôpitaux du pays pour faire aboutir leurs revendications, dont l’abrogation du service civil, la révision de leur statut et l’amélioration de leur situation et conditions de travail.