C’est un ralliement à haute valeur symbolique. Philippe Douste-Blazy, l’un des fondateurs de l’UMP, a annoncé dimanche dans une tribune au Monde.fr qu’il voterait pour le leader centriste à la présidentielle.
Le secrétaire général adjoint des Nations Unies n’a posé qu’une seule condition au président du Modem : que la taxe sur les transactions financières, proposée par la candidat Bayrou en 2005, serve aussi à aider les pays pauvres.
Celui qui était aux côtés de Nicolas Sarkozy au soir de son élection présidentielle, dénonce « L’UMP d’aujourd’hui s’est abîmée dans sa course permanente à l’urgence, à la surenchère, dans la poursuite du fait divers. Elle a laissé dans sa poche sa boussole principale : la personne humaine. »
L’ancien maire de Lourdes gère en effet le fonds de lutte contre le Sida créé à son initiative à l’ONU, Unitaid.