Philippe Vannier a précisé que les motivations des jeunes gens, dont l’un se défend de tout antisémitisme, n’étaient pas connues et que ces derniers n’avaient pas d’antécédents.
"Ils considéraient le cimetière comme étant abandonné", a-t-il dit lors d’une conférence de presse.
L’un des adolescents s’est présenté spontanément à la brigade de gendarmerie pour se dénoncer après s’être rendu compte de l’émotion provoquée par cette profanation.
Au total 250 tombes ont été dégradées, a précisé Philippe Vannier.