Les contacts entre les deux parties ont porté sur les dispositions pratiques pour la cérémonie de signature du plan et de son mécanisme d’application, a précisé l’émissaire onusien aux médias.
Elaborée par des pays du Golfe, en concertation avec les Etats-Unis et l’Union européenne, cette initiative pour la paix prévoit la formation par l’opposition d’un gouvernement de réconciliation et la démission du président, en échange de l’immunité pour lui-même et ses proches.
Son application devrait conduire à une élection présidentielle anticipée et garantir une transition pacifique et démocratique du pouvoir.