Ce dirigeant, qui a démenti ces attaques, a cependant démissionné de ses fonctions. "Mitsubishi Motors Corporation a été profondément choqué par les commentaires attribués au représentant de son importateur indépendant en France, tels que rapportés par la presse française", a déclaré le constructeur automobile dans un communiqué.
L’entreprise nippone "souhaite par principe présenter ses excuses à Monsieur le ministre Montebourg ainsi qu’au gouvernement français pour les conséquences que ces propos ont pu avoir sur leur réputation et leur honneur", poursuit le communiqué, qui précise que Mitsubishi n’exprime pas d’opinion politique.