"Tellement d’Africains en Grèce… Au moins les moustiques (porteurs du virus) du Nil occidental mangeront de la nourriture maison", avait-elle écrit.
Son tweet controversé a immédiatement déclenché la polémique en Grèce, au point que plusieurs responsables politiques ont réclamé son exclusion.
L’athlète de 23 ans a présenté ses excuses mercredi, en affirmant qu’il s’agissait d’une «plaisanterie malheureuse et de mauvais goût». «Je suis vraiment désolée et honteuse après toutes les réactions négatives que j’ai déclenchées, dans la mesure où je n’ai jamais voulu offenser personne ni violer les droits de l’homme», a-t-elle réagi sur sa page Facebook. Paraskevi Papachristou a fini à la 11e place des championnats d’Europe d’athlétisme en juin dernier.
Sa remarque faisait référence à la petite épidémie de virus du Nil occidental qui a fait une victime à Athènes et touché au moins cinq personnes au cours du mois.