Les parlementaires ont ainsi majoritairement refusé de suivre leur rapporteur sur ce dossier, l’écologiste français José Bové, qui s’était battu contre le texte. José Bové avait argué pendant le débat que l’accord allait "placer les producteurs européens dans une situation de concurrence insoutenable sans pour autant conforter un développement équilibré au Maroc".