Le conseiller culturel, un religieux, a été tué dans l’attentat selon des sources officielles libanaises et iraniennes. Un membre du service de sécurité de l’ambassade, lui aussi de nationalité iranienne, a également péri dans l’attaque, selon les médias iraniens.
Il s’agit de la première attaque visant l’Iran depuis le début du conflit en Syrie, où Téhéran a dépêché des experts militaires et encouragé le Hezbollah libanais ainsi que des miliciens chiites irakiens à participer aux combats aux côtés des troupes du président Bachar al-Assad.
Le soutien des ces milices chiites a permis à l’armée syrienne de remporter des victoires sur le terrain autour de Damas mais aussi dans le nord de la Syrie.