De ces 904. 000 jeunes, plus de la moitié (513.000) ne se cherchaient pas d’emploi, précise l’étude, expliquant que certains sont parents de jeunes enfants, étudiants dans des programmes non traditionnels ou encore souffrent d’une incapacité permanente les empêchant de travailler.
Quelque 391.000 jeunes se cherchaient un emploi en 2011, ce qui représente un taux de chômage de 11,8 % chez les 15 à 29 ans ne fréquentant pas d’établissement scolaire, ajoute-t-on.
L’étude a aussi révélé que les jeunes détenant un haut niveau de scolarité étaient nettement moins susceptibles d’être au chô mage, notant que les jeunes mariés et sans enfant affichaient également un plus bas taux de chômage que les jeunes célibataires.
Les jeunes vivant chez leurs parents avaient plus de probabilités d’être au chô mage que ceux ayant quitté le domicile familial, selon l’étude, réalisée d’après un indice compilé par l’Organisation de coopération et de développement économiques.