Au-delà de la signature probable de grands contrats, notamment pour Airbus et Areva, la Chine est un partenaire clé, pour le chef de l’Etat français, dans la perspective de la présidence française du G20. Nicolas Sarkozy s’efforce depuis près d’un an de rallier la Chine à sa croisade en faveur d’une réforme du système monétaire international, dont il souhaite voir le G20 poser les premiers jalons pendant la présidence française, qui débute à l’issue du sommet de Séoul, le 12 novembre.