"Toutes les décisions qui ont été prises ses dernières années n’empêchent pas des individus souvent très jeunes avec un parcours déjà délinquant, réitérant, récidiviste, qui ne respecte aucune règle, qui ne savent pas ce qu’est la vie ou la mort", a poursuivi le ministre évoquant "un mal" si "profond" qu’il est impossible de préconiser une réponse "en un mot".
