Le suspect avait réussi à gravir les échelons de l’administration au Maroc avec des faux diplômes, jusqu’à devenir chef de l’administration fiscale à Rabat. Grâce à ses fonctions, il avait eu accès à des informations sur des terrains appartenant à l’État et avait réussi à vendre deux de ces terrains en falsifiant des documents. Il est également accusé d’avoir réussi à détourner 100.000 euros.
Le Maroc a donc livré à la police judiciaire parisienne le nom de son profil Facebook et les forces de l’ordre n’ont eu qu’à le cueillir dans son bar de prédilection dans le 11e arrondissement.