Un juriste international souligne la pertinence du plan d’autonomie, “unique solution” au conflit sur le Sahara
Le juriste international et avocat britannique, Andrew Rosemarine, a souligné, mercredi devant la 4ème Commission de l’Assemblée générale de l’ONU, la pertinence du plan d’autonomie pour la résolution définitive du conflit artificiel autour du Sahara marocain.
L’expert international a notamment fait remarquer que le plan, présenté à l’ONU en 2007, “s’inscrit dans le cadre de l’édification d’une société démocratique et moderne, fondée sur l’Etat de droit, les libertés individuelles et collectives et le développement économique et social”, et apporte ainsi “la promesse d’un avenir meilleur pour les populations de la région, met fin à la séparation et à l’exil et favorise la réconciliation”.
M. Rosemarine, qui s’exprimait devant un parterre d’experts en droits de l’Homme, de parlementaires, d’académiciens et d’acteurs associatifs, s’est dit convaincu que le Maroc est en mesure de “mener à bien ce projet”, citant notamment “la manière dont le Royaume a réagi aux épreuves et aux dangers du Printemps arabe, en proposant des réformes démocratiques et en réussissant une croissance économique durable”.