C’est une secrétaire médicale du gynécologue qui a mis l’affaire au jour. Elle avait émis des soupçons auprès de la police après avoir vu des appareils photos dans le cabinet où le médecin examinait ses patientes. Les neuf plaignantes se sont reconnues sur des photos que le médecin avait prises entre octobre 2010 et avril 2012. La police avait contacté ces patientes après avoir eu connaissance de documents les concernant.
