"Les circonstances impliquant la destruction par le feu de livres saints comme la Bible et le Coran peuvent dans certains cas constituer une violation de la loi sur le blasphème", a précisé dans un communiqué le procureur danois Jan Reckendorff.
Le prévenu avait tourné ladite vidéo à charge dans son jardin, avant de la poster sur le compte Facebook d’un groupe extrémiste intitulé "Oui à la liberté, non à l’Islam".
L’article 140 du code pénal danois sur le blasphème prévoit une peine de prison de quatre mois au maximum, une peine qui n’a pas été appliquée depuis 1971.