Le dirigeant chiite, critiqué de toutes parts pour son autoritarisme et son sectarisme, a jusqu’ici fait la sourde oreille face aux appels à la démission lancés par les sunnites, les Kurdes, certains de ses alliés chiites et de l’Iran pour laisser la place à une figure plus consensuelle susceptible d’unir les Irakiens face aux djihadistes de l’Etat islamique.
Des membres des forces spéciales irakiennes loyales à Nouri al Maliki se sont déployés dimanche soir dans des secteurs stratégiques de Bagdad, a annoncé la police irakienne.