Le fils de Hamid Chabat, maire également maire de la ville de Fès, avait été laissé en liberté provisoire en attentant le procès appel.
Dans le même dossier, des supposés complices arrêtés également pour trafic de drogue –un propriétaire d’hôtel et deux commerçants- se trouvent, eux, derrière les barreaux après avoir été condamnés à la même période (2012) par le même tribunal de Fès.
Hamid Chabat vient de demander le retrait de son parti du gouvernement Benkirane (islamiste), créant une crise gouvernementale différemment appréciée par la classe politique marocaine.