Selon le quotidien, les Américains entraînent depuis plusieurs mois des combattants syriens de l’ASL, l’Armée syrienne libre, sélectionnés avec soin. Les Américains aimeraient en effet éviter de former des hommes liés aux groupes islamistes radicaux. Un premier contingent de 300 hommes serait ainsi parti de Jordanie mi-août et avancerait vers Damas, sans, pour l’instant, faire la différence près de la capitale. Mais cette menace aurait pu pousser le président syrien à passer l’étape suivante en utilisant des armes chimiques.
Des rebelles syriens épaulés par des commandos israéliens, jordaniens et des membres de la CIA : voilà l’hypothèse avancée hier soir par « le Figaro » pour expliquer le recours aux armes chimiques — s’il était confirmé — par Bachar al-Assad.