Moscou et Pékin "doivent comprendre qu’ils ne se mettent pas seulement en travers des aspirations du peuple syrien, mais également du Printemps arabe", a dit Mme Clinton devant la presse à l’issue de la Conférence internationale sur la Syrie, qui s’est déroulée dans la capitale tunisienne.
La secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton a appelé vendredi à Tunis la communauté internationale à pousser la Chine et la Russie, qui ont bloqué début février une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant la répression en Syrie, à "changer de position".