"Ceux qui refusent de faire pression sur la partie extrémiste et armée de l’opposition (en Syrie) sont les mêmes qui nous accusent de bloquer le travail du Conseil de sécurité de l’ONU. Je considère que cette position est immorale", a-t-il déclaré, dans des propos retransmis à la télévision russe.
Il a, par ailleurs, réitéré la position russe sur le dossier syrien, relevant que le Conseil de sécurité ne devait pas stigmatiser le seul régime de Bachar al-Assad.
Selon la haut-commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Navi Pillay, "probablement plus" de 5.000 personnes ont été tuées dans la répression des manifestations en Syrie depuis le mois de mars.