La Colombie demande aussi aux pays membres du Conseil de sécurité à prendre les mesures à même de mettre fin à la situation difficile que vit le peuple syrien et permettre aux populations de ce pays de retrouver le chemin de la réconciliation et de la paix durable, indique un communiqué du ministère des affaires étrangères.
La même source souligne que l’exécutif colombien "rejette catégoriquement" l’usage d’armes chimiques dans ce pays arabe qui "constitue un crime contre l’Humanité", et réitère son soutien au Secrétaire générale des Nations Unies, tout en se félicitant de l’élaboration du rapport de la Mission d’investigation présenté le 16 septembre courant qui a constaté l’usage d’armes chimiques à "grande échelle avec de grands effets et dommages sur la population civile".
Bogota demande aussi au secrétaire générale de l’ONU de "dépêcher à nouveau et de manière urgente" cette mission en Syrie pour qu’elle puisse poursuivre son travail, et exhorte les parties du conflit à faciliter le travail de cette mission et à respecter les droits de la population civile.
