"Notre échec collectif à empêcher des crimes atroces en Syrie, ces deux dernières années et demie, restera un lourd fardeau pour les Nations Unies et les Etats membres", a déclaré Ban Ki-moon devant l’Assemblée générale de l’ONU.
Pour le Chef de l’ONU qui intervenait dans le cadre d’une réunion sur la "responsabilité de protéger", la Syrie "reste un cas d’école", tout en formant le voeu de voir les "discussions actuelles" sur la sécurisation des stocks d’armes chimiques dans ce pays aboutir.
Il a notamment souhaité que les "discussions actuelles sur la sécurisation des stocks d’armes chimiques de la Syrie conduiront le Conseil de sécurité à jouer un rôle effectif pour encourager la fin de la tragédie syrienne".
Et de conclure que la "prévention est au cœur de la responsabilité de protéger, et que nous devons tous évaluer notre propre capacité de prévenir. C’est là que commence la responsabilité", a-t-il dit.