Dans un communiqué, Shell indique qu’elle "financera les travaux de redémarrage (de la raffinerie de Petit-Couronne) à hauteur de 10 millions d’euros, sur une enveloppe totale estimée à 38 millions". Le chef de l’Etat avait, lui, évoqué un coût total de 50 millions d’euros pour les deux mois de travaux de remise en l’état de la raffinerie.
Devant les salariés de Petroplus à Petit-Couronne, il a expliqué à la mi-journée que l’Etat avait déjà apporté les 20 premiers millions, que les quotas de CO2 dégageraient 10 millions supplémentaires et que les 20 millions restants seraient "fournis (…) en avance de trésorerie par Shell".