Le guide suprême de la Révolution iranienne, dont l’intervention était agrémentée de nombreux détails techniques, a jugé nécessaire d’accroître de façon importante les capacités nationales d’enrichissement d’uranium, alors que les Etats membres du groupe "P5+1" (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, Chine, Russie et Allemagne) souhaitent au contraire les limiter pour empêcher la République islamique de se doter de la bombe atomique.
En vertu de l’accord intérimaire conclu fin novembre, les négociations doivent aboutir avant le 20 juillet à un règlement définitif du contentieux, qui permettrait la levée des sanctions internationales.