Cette position exprimée dans le Journal du dimanche fait suite à une "résolution" parlementaire en ce sens – texte sans portée contraignante – adoptée sous l’ancien gouvernement de droite par les députés. Il n’est pour l’instant formulé aucun projet précis de législation.
"Sans aucun jugement moral, il s’agit de protéger l’immense majorité des prostituées, qui sont d’abord des victimes de violences de la part des réseaux, des proxénètes", dit Najat Vallaud-Belkacem, qui est aussi porte-parole du gouvernement.