"De telles déclarations en provenance de Doha ne peuvent que susciter une vive inquiétude", estime-t-il dans un communiqué, évoquant la réunion des "Amis du peuple syrien", samedi au Qatar, où cette décision a été officialisée.
Le groupe réunit Etats-Unis, France, Allemagne, Egypte, Italie, Jordanie, Qatar, Arabie saoudite, Turquie, Emirats arabes unis et Royaume-Uni.