Lors d’une conférence de presse après des entretiens avec les responsables de la rébellion, le sénateur républicain a appelé "la communauté internationale à reconnaître le Conseil national de transition comme la voix légitime du peuple libyen. Ils ont gagné ce droit".
Pour lui, la ville de Benghazi, siège du CNT à près de 1.000 km à l’est de Tripoli, est "un exemple puissant et plein d’espoir de ce que peut être une Libye libre".
"J’ai rencontré tous les responsables importants du conseil et j’applaudis leurs progrès remarquables dans leur lutte pour la libération", a-t-il ajouté, précisant qu’il avait aussi rencontré des représentants du Danemark, de la Turquie, de la France et de l’Italie à Benghazi.
Seuls la France, le Qatar, l’Italie et la Gambie ont reconnu, jusqu’à présent, le CNT comme interlocuteur principal en Libye.