Relevant "la paresse intellectuelle" et "la malhonnêteté voulue" d’une certaine presse qui s’est faite spécialiste de la révélation de propos ou d’actes attribués au souveraini, citant en cela de soi-disant "sources proches", l’auteur de l’éditorial souligne que "les plumitifs au service de cette presse devraient se rendre compte, au-delà de la déontologie journalistique qui exige du journal de vérifier ses sources et d’avancer les preuves de ses révélations, des dangers réels qu’il peut faire courir aux institutions".
"Mieux encore, il n’est ignoré de personne que, lorsque le Palais souhaite s’exprimer, il a à sa disposition un canal de communication bien défini, à travers le porte-parole du Palais royal, le Cabinet royal ou les Conseillers", soutient-il.