La rencontre de Davos est fortement attendue pour ausculter l’état de l’économie du monde, débattre des prévisions, mais aussi renouer des contacts d’affaires. Benkirane, ainsi que ses homologues de Tunisie, Libye, Egypte et Libye auront, sans doute, à réponde aux interrogations des investisseurs institutionnels internationaux, qui ne cachent pas leurs inquiétudes quant aux développements survenus dans ces pays, après la vague des "Printemps arabe".
