Il y a bien la Libyan Investment Authority (LIA) qui gérait officiellement l’argent du pays, mais ce n’est pas le seul organisme et Jeune Afrique de préciser que d’après les ONG, de 1 % à 4 % seulement des biens mal acquis sont restitués aux États spoliés.
A noter par ailleurs que les premiers convois de véhicules qui ont traversé le Niger vers le Burkina Faso, dont la presse avait beaucoup parlé évoquant une possible présence du Guide Libyen, pourrait surtout être des convois transportant des fonds, et en particulier de l’or.