"Les participants sont convenus et ont clairement affirmé que ceux dont la présence compromettrait la crédibilité de la transition devraient être mis à l’écart. A cet égard, ils ont tenu à souligner que Bachar al-Assad devait abandonner le pouvoir", selon le texte.
La conférence a également décidé d’"accroître massivement l’aide à l’opposition", notamment par des moyens de communication, et les participants sont convenus d’organiser leurs prochaines rencontres au Maroc puis en Italie, selon ses conclusions. "Les participants se sont félicités que le Maroc soit disposé à accueillir la prochaine réunion du groupe des Amis du peuple syrien. L’Italie s’est déclarée prête à accueillir la réunion suivante", ajoute-t-elle.