Selon lui, l’Etat veut s’attaquer à l’évasion fiscale très coûteuse pour les Caisses de l’Etat. Ainsi, en signant cette convention, le Royaume prévoit non seulement l’échange de renseignements (avec des dispositions rapides sur l’échange spontané et automatique), mais de bénéficier de l’assistance au recouvrement, de la notification de documents et des vérifications conjointes.
Une coopération multilatérale dont peuvent bénéficier également les entreprises en réduisant les coûts du respect des obligations fiscales et en mettant en place des règles de jeu équitables.