Le responsable du FMI a fait observer, à cet égard, que l’économie marocaine montre déjà un début de reprise en 2013, année devant être marquée par une croissance "aux alentours de 4,5 % et une diminution du déficit budgétaire, conformément à l’agenda (de réformes) à moyen terme mis en ouvre par le gouvernement".
Il a aussi relevé que cet agenda vise essentiellement à remédier à certaines "vulnérabilités", en particulier la réduction des déficits, l’amélioration de la productivité économique et une croissance plus inclusive, se félicitant que l’un des points forts de ce programme économique reste sa "capacité démontrée à attirer des financements privés" étrangers.
Le directeur du Département Moyen-Orient et Asie centrale au FMI a rappelé que l’accord conclu en août dernier avec le Maroc portant sur une Ligne de précaution et de liquidité (LPL) de près de 6,3 milliards de dollars intervenait justement en soutien à ce programme économique.