"C’est une voie sans issue, mais si certains de nos partenaires occidentaux décident tout de même de s’y engager, nous n’aurons pas d’autre choix que faire face avec nos propres forces. Et nous gagnerons", a déclaré M. Medvedev dans un discours devant la Douma (chambre basse du Parlement).
Les Etats-Unis et l’Union européenne, qui ont déjà pris des sanctions ciblées contre des personnalités ou des établissements financiers russes en raison du rattachement de la Crimée à la Russie, envisagent de mettre en oeuvre un nouveau train de sanctions, notamment économiques, alors que la situation dans l’est de l’Ukraine se détériore.