Même si elle rappelle que de nombreuses plaintes récentes allant dans ce sens n’ont rien donné en Egypte, la grand reporter espère être aidée par la présence de son caméraman, lui aussi molesté par la foule. «Comme on a quelques images, ça peut peut-être aboutir».
Caroline Sinz en a par ailleurs profité pour fustiger les recommandations de Reporter sans frontières, l’organisation ayant conseillé aux femmes journalistes de ne plus travailler en Egypte suite à une série d’agressions. «Il faut des femmes en Egypte. D’ailleurs c’est une consœur qui m’a remplacée. (…) Je ne me sens pas plus exposée, ce sont les compétences qui comptent»