S’exprimant lors d’un dîner organisé par le cercle de réflexion Bruegel, il a expliqué que la France était attendue sur le terrain de la crédibilité.
Paris doit atteindre les objectifs de déficit budgétaire fixés, a-t-il ajouté, tout en disant que cela nécessiterait d’importants efforts.
Evoquant la décision de la Banque centrale européenne d’avaliser jeudi le lancement d’un nouveau programme de rachats d’obligations souveraines sur le marché secondaire, il a salué l’idée selon laquele les Etats devaient agir pour permettre à la BCE de prendre ses responsabilités.