L’Espagne s’était félicitée, en mars dernier, de l’adoption par le Conseil des ministres du projet de loi sur la justice militaire et de la décision prise par le conseil de gouvernement sur le traitement des plaintes et propositions émanant du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH).
L’adoption de ces mesures constitue "une avancée positive sur la voie de la promotion du respect des droits et des libertés au Maroc", avait souligné le ministère espagnol des Affaires étrangères et de la coopération.