"Si nous repérons un transfert d’armes chimiques syriennes au Hezbollah, nous agirons de la façon la plus dure possible", a affirmé M. Lieberman à la radio publique.
Le chef de la diplomatie israélienne a réaffirmé qu’un tel transfert constituait "un casus-belli, une ligne rouge à ne pas franchir, c’est le message que nous avons transmis aux Européens, aux Américains, à l’ONU et à la Russie", a ajouté M. Lieberman.
Le chef d’état-major israélien, le général Benny Gantz, avait pour sa part affirmé mardi que le régime du président syrien Bachar al-Assad "contrô lait ses stocks d’armes".