Le ministre n’a pas précisé si ces divergences étaient avec les Etats-Unis ou s’il visait l’Iran. Elles "doivent être comblées" et "il y a encore du travail" à faire, a-t-il ajouté après un entretien avec son homologue américain John Kerry, dont vingt minutes en tête-à-tête dans son bureau du Quai d’Orsay.

