Dans un communiqué, le chef de l’Etat a remercié "tous ceux qui, au Mexique comme dans notre pays, se sont engagés pour que la vérité et la justice prévalent", peu après l’annonce de la décision de la Cour suprême du Mexique.
Le président a souligné que "ses pensées" allaient à la Française emprisonnée, "à sa famille et à ses proches". Il a appelé la mère de Florence Cassez aussitô t la décision connue, selon l’entourage du président.
"Pour eux, comme pour tous ceux qui se sont mobilisés pour notre compatriote, c’est une période particulièrement douloureuse qui prend fin", a-t-il poursuivi.
La Cour suprême du Mexique a décidé mercredi la libération immédiate de la Française, en raison de la violation de ses droits fondamentaux dans la procédure ayant conduit à sa condamnation à 60 ans de prison pour enlèvements.
La compagne du président français, la journaliste Valérie Trierweiler, se trouvait avec la mère de Florence, Charlotte Cassez, pour lui apporter son soutien au moment de l’annonce de la décision de la justice mexicaine.