"Le Conseil constitutionnel doit être respecté, pleinement respecté, entièrement respecté et personne ne peut suspecter, mettre en cause cette institution, sans alors mettre en cause l’ensemble des institutions", a déclaré le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse en Tunisie.
L’ancien président de la République Nicolas Sarkozy a claqué jeudi la porte du Conseil constitutionnel et lancé un appel à la mobilisation des Français "attachés au pluralisme" pour sauver l’UMP, privée d’une subvention de près de 11 millions d’euros par la décision des "Sages".