Il s’agit, a précisé Jérôme Cahuzac, de compenser cinq à six milliards d’euros d’impôts levés en 2013 à titre exceptionnel.
"Si nous ne faisons rien de plus en matière de fiscalité l’année prochaine, il y aurait cinq à six milliards d’euros d’impôts de moins", a-t-il expliqué. "La situation financière de la France (…) ne permet malheureusement pas de nous priver de six milliards d’euros de recettes."
"Il faudra évidemment en 2014 obtenir cette recette", a-t-il ajouté. "Ce qui veut simplement dire que, à tout le moins, la stabilité fiscale impose de trouver six milliards d’euros de recettes supplémentaires."