Cette décision, une première pour une manifestation syndicale depuis plusieurs décennies, a été prise après le refus des sept syndicats contestataires d’organiser un rassemblement statique jugé plus facile à contrôler par les autorités. Dans un communiqué, le préfet de police "considère qu’il n’a pas d’autre choix que d’interdire la tenue de la manifestation". (AFP)
