"Nicolas Sarkozy manque à l’UMP, c’est lui qui a très largement construit le succès de cette formation politique et il y a un vide depuis son départ que personne ne peut nier. Je n’ai fait que constater une évidence", a argumenté le candidat aux Législatives à Paris.
Prié de dire s’il était candidat, il n’a pas répondu directement mais a déclaré : "personne ne peut imaginer que je ne participe pas de façon active à ce débat démocratique"
Il a nié toute agressivité, expliquant que la rivalité se solderait selon les procédures internes à l’UMP. "J’entends parler de guerre de chefs, il n’y a pas de guerre, ce n’est jamais mon vocabulaire".