Les juges, qui doivent aborder lundi les questions de procédure avant de traiter le fond de l’affaire jusqu’à mercredi, devront déterminer si Philippe Barbarin et ses cinq coprévenus ont suffisamment réagi en apprenant les accusations d’agressions sexuelles sur de jeunes scouts entre 1986 et la fin 1991 visant un prêtre de son diocèse Bernard Preynat.
