Cassez-Bel : « Hollande a joué la carte de la discrétion »

Jean-Pierre Bel s’est comme tout le monde félicité jeudi de la libération de Florence Cassez, insistant sur le rôle positif joué par François Hollande dans cette affaire. "Ce qui a été très important, c’est la rencontre en octobre entre François Hollande et Enrique Pena Nieto (le nouveau président mexicain, ndlr), qui n’était pas encore investi. Ça s’est extrêmement bien passé, et à partir de là, on savait qu’on était sur de bons rails", a assuré le président du Sénat, qui s’est rendu à l’investiture de Pena Nieto début décembre.

"Si François Hollande a souhaité que je me rende au Mexique, à un très haut niveau de représentation par rapport à nos partenaires européens, c’est parce que nous voulions confirmer cette impression", a poursuivi Jean-Pierre Bel. "Le président Hollande a joué la carte de la discrétion, avec une méthode qui consiste à faire confiance à la justice mexicaine. C’était un pari risqué. Mais ça a payé."

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