Dès samedi soir, les autorités turques ont mis en cause l’implication du gouvernement syrien dans l’explosion des deux véhicules qui ont ravagé la mairie et la poste centrale de Reyhanli, où de nombreux syriens se sont réfugiés depuis le début il y a deux ans des combats entre l’armée du président Bachar al-Assad et la rébellion.