Ce report, décidé lundi, a été motivé par l’absence de la défense de certains accusés, précise la même source, rappelant que ce procès concerne 18 individus déjà condamnés dans d’autres affaires de terrorisme.
Les mis en cause sont poursuivis pour appartenance à un groupe armé, homicide volontaire avec préméditation et usage d’explosifs.
L’attentat contre le Palais du gouvernement, qui avait fait 20 morts et plus de 220 blessés, avait été perpétré simultanément avec un autre attentat à l’explosif contre le siège de la sûreté urbaine de Bab Ezzouar dans la banlieue est d’Alger.