Le 15 avril 2011, dans la foulée du "Printemps arabe" et de crainte d’une contagion, le président Abdelaziz Bouteflika avait annoncé dans un discours à la nation un train de réformes politiques, dont la légalisation de nouveau partis, l’ouverture du secteur de l’audiovisuel au privé, en attendant une révision de la Constitution à laquelle participera la future assemblée issue des législatives du 10 mai.
