Les juges d’instruction du pôle financier de Paris cherchent à savoir si cet arbitrage a été entaché d’irrégularité. Pour cela, ils s’attachent à démonter la chaîne de prises de décision ayant conduit au choix de recourir à un tribunal privé. Ils étudient en particulier le mode de désignation des arbitres et la décision du gouvernement de ne pas contester cet arbitrage malgré des soupçons d’irrégularité.
Jean-François Rocchi, ancien patron du Consortium de réalisation (CDR) la structure chargée de gérer le passif du Crédit lyonnais, a été lui aussi placé en garde à vue lundi matin, selon Le Monde.